Question Oxygene consommation



bonsoir,j’ai lu attentivement votre réponse,ce n’est malheureusement pas celle que j’attendais mais vous ny êtes pour rien !j’ai ensuite lut attentivement vos articles sur la dette en oxygène est comme ca a l’air assez compliqué a calculer j’ai penser a autre chose.en lisant d’autres artickes j’ai remarquer qu’il fallait tenir compte de la dette en o2 pour les efforts au dessus des maximums,c est adire supérieur a 100w (d’apres l’education national) or dans nos efforts il y en a 1 ou 2 qui ce font dans les conditions sous maximal alors je vourdrais savoir si vous ne pouviez pas m’aider a établer une formule avec les donées que je vous avez donner qui fonctionne sous maximamet si ,on l’établi aux autres courbes qui ont qd meme une variations d’o2 importantes par rapport au repos,on pourra justifier les defaillance en explmiquant le fonctionnement des phenomene anaerobieet dire ce qu’ils permettents pour l’organisme.pensez vous que ceci est faisable sans trop d’inconcordances ?et pouvez m’aider aétablir cette formule ?je vous donnerai les delta v02 demain si vous voulez vérifiez les unités sinon nous nous en chargerons.merci quand meme de votre aide,a bientot.


REPONSE

Adrien,
Voici une partie de réponse à un autre étudiant qui a été écrite par Jean-Marc, dont le métier est d’entraîner les sportifs de haut niveau, et qui est lui-même sportif de haut niveau, plusieurs fois champion de France du 400 m, 3e aux championnats d’EUROPE et 8e aux championnats du monde.
“ Pour répondre à votre question concernant l’existence éventuelle de formules mathématiques prédictives de la performance, je vais être catégorique : on ne peut pas prédire avec certitude un résultat pour la simple raison que chaque organisme répond de manière individuelle et personnalisé à une sollicitation physique. Le corps peut s’apparenter à un organe de transfert aléatoire qui peut s’avérer être un bon répondeur à une méthode ou un moins bon répondeur ! De plus, la performance est multi-factorielle et fait intervenir de manière non négligeable l’aspect psychologique qui, par essence est difficilement maîtrisable, quantifiable et ajustable. Sans compter les conditions extérieures qui peuvent venir
polluer le modèle prédictif ”
Tenez compte de mes remarques :
L’évolution du potentiel anaérobie alactique et lactique, pose le problème de la violence de l’exercice demandé, classiquement à 100 % des possibilités avec atteinte de la fréquence cardiaque maximale. L’intégrité cardiaque du sujet doit être contrôlée, il faut un échauffement rigoureux par exemple par une épreuve aérobie, il faut s’entourer de précautions médicales en cas de pépin.
La durée alactique ne dure pas plus de 15 secondes. Récupération 2 minutes. Il existe 3 tests principaux : détente verticale : puissance max.anaérobie alactique en watts = 22 x Poids en kg x distance de saut en mètres. Célérométrie de Margaria, faisant monter un escalier de 4 m de hauteur avec un chrono au 1/ 100 de seconde. Puissance max. anaérobie alactique = 9,8 x poids en kg x 4 divisé par le temps en secondes. Le troisième test nécessite un vélo ergométrique (Péres) Ces tests sont très critiqués car ils ne mettent en jeu que les membres inférieurs, mais le saut en détente verticale est simple à réaliser.
Potentiel anaérobie lactique. La durée ne peut excéder 2 minutes. Puissance anaérobie lactique 15 à 45 secondes, capacité anaérobie lactique 45 sec à 2 minutes. Les tests nécessitent l’emploi d’une bicyclette ergométrique. Après échauffement, pédaler à 80 tours / mn pour une charge de 7 W / kg et tenir le plus longtemps possible. La décroissance de la vitesse de pédalage signale la fin du test. D’autres tests utilisent la mesure de l’acide lactique sanguin et de la fréquence cardiaque.
Je pense que le mieux serait que vous me communiquiez un fax pour que je vous envoie une étude faite par Henry Vandewalle du département de la recherche INSEP à Paris, qui vous apportera les détails et les critiques de ces tests “ alactiques ”. Cela vous servirait dans votre bibliographie et votre discussion.
Votre test ressemble aussi au test de Ruffier-Dickson. Le connaissez-vous ?
Pourquoi ne chercheriez-vous pas à utiliser ce test qui dure 45 secondes pour le comparer à vos résultats ?
Bon courage. Vus avez raison d’insister, la fortune ne sourit qu’aux audacieux !
Cyber@lbert

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